[Journal de Morges] Nouveau nom mais mêmes visages
Le nom change mais l'équipe reste. Depuis le début de l'année, l'agence immobilière de la Grand-Rue 28 exerce son activité de courtage sous· la marque «BARNES», le patronyme d'un grand groupe actif dans l'achat et la vente d'objets immobiliers, la spécialité de l'agence morgienne. «Ce changement n'implique aucun bouleversement dans nos pratiques quotidiennes, elle est l'illustration de notre unité et de notre volonté de simplification pour être plus efficients», explique Pierre-Adrien Haxaire, responsable de BARNES à Morges, avec à ses côtés Julien Wespi (courtier) et Noicy Sid (assistante). Des professionnels qui sillonnent le chef-lieu et le district. au quotidien, ce qui permet une prise de température instantanée sur la situation du marché régional.
«Il y a encore un potentiel important comme on peut le voir avec les nombreuses constructions en ville, mais également des petits immeubles à la campagne, ce qui est assez nouveau dans certains villages. Nous nous chargeons justement d'une promotion de 41 logements à Pampigny, ce qui est inédit. On observe que des jeunes des alentours sont très intéressés, ainsi que des gens déjà établis qui veulent peut-être quitter une maison individuelle pour quelque chose de plus fonctionnel et sans entretien. Mais la demande - dans ce périmètre - est encore très présente.»
Mobilité
Et les propriétaires sont plus enclins à changer de biens qu'ils ne l'étaient auparavant, ce qui entraîne à produire de nombreuses estimations, l'une des spécialités de cette agence. «Il y a une nette augmentation dans ce secteur avec des ventes qui peuvent s'avérer intéressantes et utiles, quand un couple souhaite par exemple envisager sa retraite avec un bien plus petit et moins contraignant.» On parle également davantage de mobilité avec des enfants qui ne reprennent plus aussi automatiquement que par le passé' la maison familiale. «Nous avons· la chance d'habiter une région très attractive, qui présente de nombreux avantages et il y aura toujours le désir de venir s'y installer», estime Pierre-Adrien Haxaire.