Valorisation de l’immobilier : comment la mettre en œuvre ?
«Toutes les ventes sont belles, mon plaisir est la satisfaction du client ».
Située à la pointe du lac Léman, les villes de Vevey et Montreux présentent des profils atypiques dans le paysage romand, offrant des points de vue magnifiques à toutes celles et ceux qui s’y aventurent pour un jour ou qui décident de s’y installer définitivement. Que l’on soit un résident étranger ou un natif de la région, féru de sports d’hivers et/ou d’activités culturelles, chacun y trouve son bonheur baigné par un micro-climat digne d’une ambiance méditerranéenne. Située sur un nœud géographique, à 90 kilomètres de l’aéroport international de Genève, la région offre des choix d’habitats diversifiés et séduit toutes les bourses. Il ne fait aucun doute que ses habitants semblent y couler des jours paisibles, dans ce paysage entre montagnes et lac.
La beauté du paysage, mais pas seulement…
Cette région s’impose comme un pôle d’attractivité économique, tant au niveau de la Suisse qu’à l’échelle internationale. Un constat visible par la nature même des clients du groupe, venant d’Europe, d’Asie ou encore des Etats-Unis. Leur souhait ? S’installer loin du tumulte des grandes capitales dans une région qui propose une alternative aux nombreuses incertitudes économiques et sécuritaires impactant de nombreux pays. Et, dans une actualité marquée par le Brexit, ce ne sont pas les anglais qui contrediront ces propos. Un contexte qui peut toutefois profiter à un segment de l’immobilier, comme en témoigne Stéphane Keck le responsable des agences de Vevey et Montreux de Gerofinance-Dunand / Régie la Couronne : « La stabilité de la Suisse et la qualité des établissements et des écoles privées sont des éléments qui sont au cœur des discussions avec mes clients. Cette région est une superbe vitrine et bien que les conséquences positives du Brexit sur l’immobilier de luxe sont encore difficiles à évaluer, je reste persuadé que cela pourrait donner un coup de fouet à l’immobilier de Luxe sur la Riviera.».
Une demande de biens pour toutes les bourses
Le marché immobilier de la Riviera est compliqué pour un courtier qui ne connaît pas la région. « Nous ne nous contentons pas juste de passer des annonces. Nous sommes des promoteurs et comprenons donc les attentes et les besoins des clients. Avec la présence de notre agence dans deux villes totalement différentes et pourtant localisées à un saut de puce, nous pouvons répondre tant aux demandes de la classe moyenne - pour des maisons à 1,5 millions et des appartements en PPE au-dessous de 1 million – que pour des demandes de biens luxueux situés entre une large fourchette de 3 à plus de 30 millions. ». Le professionnel relève que la demande de biens située entre 2 et 5 millions est celle qui demeure la plus soutenue actuellement dans le segment du luxe.
Afin de répondre à cette forte demande, les agences de la Riviera bénéficient d’un service de promotions très pointu développé par le groupe Gerofinance-Dunand / Régie la Couronne. Ici, plus de place à l’amateurisme qui régnait dans les milieux immobiliers des années 90. Les méthodes de travail sont précises, qu’il s’agisse d’analyses foncières, d’études de projets, ou encore de toute la préparation en amont de l’achat et ce jusqu’à la commercialisation des biens. Quelque soit le projet et son avancement, le groupe offre un service sur mesure et se positionne en véritable interface pour la vente ou pour l’achat d’un bien.
« L’immobilier est avant tout un métier qui s’intéresse aux gens et à leurs projets. Il ne faut pas être uniquement un bon vendeur mais savoir composer avec toutes les demandes et tous les profils clients. Cela passe par une compréhension et un décryptage des envies de chacun, afin de proposer un bien le plus en adéquation possible avec leur(s) souhait(s). L’aboutissement du travail de l’ensemble de nos équipes n’est atteint que lorsque nous avons réussi cette équation, contribuant ainsi à notre manière au bonheur d’une famille, de jeunes couples, de cadres dynamiques, etc... » conclut Stéphane Keck.
De Vevey l’industrielle à Montreux la glamour
Sa position stratégique a assuré très vite à la ville de Vevey un rôle économique de premier ordre. Historiquement située à la croisée des voies romaines, Vevey s’est ensuite imposée comme un port et un pôle commercial importants. De cet héritage, la ville a su tirer parti en assurant très tôt le développement d’une économie endogène qui en a fait sa prospérité. La transformation des produits agricoles au début de la révolution industrielle est à la genèse de la multinationale Nestlé qui s’inscrit depuis cette période dans le paysage de Vevey. Ce mouvement est en outre à la naissance d’un savoir-faire industriel dans la machinerie, produisant des turbines hydro-électriques, des locomotives et des tracteurs. Si aujourd’hui bon nombre de ces entreprises ont disparu, le passé industriel de la ville est encore très présent dans le cœur des veveysans et dans ses rues. Désormais, les regards se tournent vers le futur avec des projets de construction d’une « ville dans la ville » utilisant les friches industrielles. Gerofinance-Dunand / Régie la Couronne souhaite mettre son expertise au service de ce dynamisme, toutefois freiné par la difficulté à développer de grands projets dans la région, comme l’explique le responsable des agences de Vevey et Montreux de Gerofinance-Dunand / Régie la Couronne : « Nous avons des difficultés à trouver des parcelles importantes pour développer des projets d’envergure. Nous avons dernièrement engagé Madame Florence Pittet qui sera en charge de développer cette partie afin de trouver les perles rares ».
Alors que la cinquantième édition du Montreux Jazz Festival a tiré sa révérence en ayant attiré environ 240'000 festivaliers, il ne fait aucun doute que l’image que la ville transmet en Suisse et à l’étranger est totalement différente de celle de Vevey. Montreux la belle, la glamour, la célèbre, la « jazzy » ne joue pas la même partition, tant sur le plan symbolique qu’architectural. Face à un décor veveysan marqué par son passé industriel, les bâtiments montreusiens du début du XXème se parent quant à eux de leurs plus beaux atours. « Je suis à l’aise avec les deux villes tant elles sont différentes mais très complémentaires, aussi bien au niveau de leurs habitants que de leurs biens respectifs. Je prends autant de plaisir à vendre un studio à Vevey qu’un appartement du début XXème à un international désirant s’installer à Montreux. » témoigne le responsable des agences de Vevey et Montreux pour le groupe.